Ces précautions de vocabulaire étant posées, je me lance donc dans ce journal. Aujourd’hui, l’inspiration m’est venue sur ce thème : les vacances.

Eh bien oui, ça y est, j’y suis : les vacances commencent à m’emmerder ! Qu’est devenu mon enthousiasme primesautier dès qu’il fallait mettre les voiles, découvrir de nouveaux horizons ? Bon, d’accord, ça faisait déjà quelques temps que je m’étonnais de ce petit compte à rebours qui se mettait en place, dès le premier jour d'arrivée sur la terre promise du repos syndical : « encore 7 jours, 6 jours, 5, … ». Je ne m’en étais pas plus inquiété que ça, attribuant principalement ce décompte à la piètre qualité de la literie qui me réservait des matins douloureux (autre symptôme de la vieuxconnitude : il n’y a que dans mon lit que je dors bien, à présent).

Mais là, les dernières vacances ont eu raison de mes dernières hésitations : je compte ouvertement les jours qui me séparent du retour à la maison. Pourtant, je prends toujours plaisir à découvrir ces nouveaux villages. Je m’enthousiasme toujours devant les paysages magnifiques qui me sont offerts. Je suis ravi de ces moments de complicité et d’intimité avec les miens, déconnectés de nos contraintes quotidiennes.

Alors ? J’y vois trois grandes raisons, sans forcément pouvoir établir de lien entre elles. Par contre, leur addition rend la chose plus pénible encore, et probablement de façon exponentielle. Je vous propose d’en faire le tour dans mes prochains billets.